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SEO pour stratégie Ecommerce

Comment attirer plus de clients sans dépenser plus ? Grâce au référencement naturel. Le principe est simple : intégrez judicieusement des mots‑clés et optimisez le contenu on‑page afin d’augmenter le trafic de votre site et vos ventes.

Des millions de recherches sont effectuées chaque jour sur Google par des internautes en quête de produits ou de solutions à leurs besoins. Et comme la majorité des utilisateurs ne vont pas au-delà de la première page de résultats, il est essentiel que votre boutique en ligne y figure.

C’est là qu’intervient le SEO (Search Engine Optimization), ou référencement naturel. Il s’agit d’un ensemble de techniques qui visent à améliorer la visibilité de votre site e-commerce dans les moteurs de recherche, sans avoir à payer pour chaque clic. Pour une boutique en ligne, c’est un levier durable et stratégique pour capter l’attention des clients potentiels… même s’ils ne connaissent pas encore votre marque.

Le SEO vous permet d’être trouvé par les bonnes personnes, au bon moment, qu’elles soient en phase de recherche, de comparaison ou prêtes à acheter. Une stratégie de référencement bien pensée contribue ainsi à générer du trafic qualifié, à renforcer la notoriété de votre marque et, in fine, à augmenter vos ventes.

Qu’est-ce que le SEO e-commerce ?

Le SEO pour l’e-commerce repose sur le même socle que le référencement d’un site Web classique, mais avec des enjeux différents : grand volume de pages (fiches produits, catégories), contenu dupliqué à éviter, gestion des ruptures de stock, performance mobile…

L’objectif : montrer à Google et aux robots que votre site est le plus pertinent pour répondre à une requête donnée. Si votre contenu est clair, structuré, utile et techniquement optimisé, vous pouvez générer du trafic organique naturellement et apparaître en haut des résultats d’une page de résultats de moteur de recherche Google (SERP), juste après les annonces payantes. Selon le type de requête, votre page peut aussi apparaître dans des résultats enrichis comme les encadrés FAQ (PAA ou People Also Ask), les snippets, les vidéos ou les carrousels produits. Cela nécessite simplement de consacrer du temps à votre site et d’être persévérant.

Pour classer les pages de votre site, les moteurs de recherche s’appuient sur de nombreux critères, parmi lesquels :

  • La qualité et la pertinence sémantique du contenu proposé
  • La structure technique du site (rapidité, sécurité, adaptabilité mobile, navigation fluide)
  • L’utilisation cohérente des mots-clés en lien avec les intentions de recherche
  • La présence de liens internes bien pensés (maillage)
  • La popularité du site, mesurée notamment par les liens entrants (backlinks)
  • La mise en place de données structurées qui permettent aux moteurs d’interpréter plus finement vos pages (ex. : prix, stock, avis, FAQ) et d’enrichir votre présence dans les résultats
  • Les signaux UX, comme les Core Web Vitals, qui mesurent la performance ressentie par l’utilisateur (vitesse, stabilité, interactivité)
  • L’expérience mobile, désormais incontournable, tant pour l’utilisateur que pour l’algorithme
  • Et de plus en plus : votre capacité à apparaître dans les résultats enrichis générés par l’IA via des outils comme la Search Generative Experience (SGE) de Google, qui privilégient les contenus bien structurés, fiables et adaptés aux intentions de recherche complexes

À noter : pour les sites e-commerce avec une présence physique (boutique, showroom, point de retrait), le SEO local est un levier complémentaire à ne pas négliger. Optimisez votre fiche Google Business Profile, gérez vos avis clients et assurez une cohérence entre les informations locales (nom, adresse, téléphone) sur tout le Web.

Enfin, le référencement se décompose en deux volets complémentaires :

  • Le SEO on-page, qui concerne tout ce qui se passe sur votre site : balisage, mots-clés, contenu, structure des URLs, maillage interne…
  • Le SEO off-page, qui repose sur des éléments externes comme la notoriété de votre site, les backlinks (liens provenant d’autres sites) ou les signaux sociaux.

Vous souhaitez en savoir plus sur le référencement SEO ? On vous dit tout sur les bases du référencement : Qu’est-ce que le référencement et comment ça marche

Pourquoi le SEO est-il essentiel pour un site e-commerce ?

Le référencement naturel est l’un des leviers les plus puissants pour générer un trafic durable et qualifié vers votre boutique en ligne. Contrairement à la publicité payante, qui s’interrompt dès que vous cessez d’investir, le SEO produit des résultats sur le long terme, sans coût par clic.

Dans un contexte où la concurrence est forte et les habitudes d’achat de plus en plus digitalisées, être bien positionné sur Google peut faire toute la différence. La majorité des parcours d’achat commencent par une recherche en ligne : si vos produits n’apparaissent pas sur la première page, vous perdez des ventes potentielles… au profit de vos concurrents.

Le SEO e-commerce permet aussi de capter l’attention de l’internaute à différentes étapes de son parcours :

  • Lorsqu’il compare plusieurs options ou cherche des avis : requête commerciale
  • Lorsqu’il cherche à en savoir plus sur un usage ou un besoin : requête informationnelle
  • Lorsqu’il cherche un produit précis et qu’il est prêt à acheter : requête transactionnelle

C’est évidemment cette dernière catégorie que vous devez viser en priorité — même si les intentions commerciales restent très intéressantes pour capter un trafic chaud en phase de comparaison.

Autre avantage stratégique : le SEO renforce la crédibilité de votre site. Un bon positionnement organique est souvent perçu comme un gage de fiabilité par les internautes, surtout lorsqu’il s’accompagne de contenus de qualité, d’avis clients et de résultats enrichis.

Enfin, un bon SEO e-commerce vous pousse à améliorer en continu l’expérience utilisateur (navigation, vitesse, mobile), ce qui bénéficie à la fois à vos visiteurs… et à votre taux de conversion.

Comment optimiser le référencement SEO de votre site e-commerce ?

Le SEO est un levier incontournable pour les boutiques en ligne. Grâce à une stratégie de mots-clés définis, il vous permet de capter un trafic qualifié sans dépendre uniquement de la publicité. Mais pour qu’il soit efficace, il doit être intégré dès la conception du site et appliqué de façon stratégique sur le long terme.

Voici 8 bonnes pratiques essentielles pour améliorer la visibilité de votre e-shop dans les moteurs de recherche et générer plus de ventes.

1. Menez une recherche de mots-clés orientée intention d’achat

La base de toute stratégie SEO repose sur le choix des bons mots-clés. Avant de penser contenu, balises ou fiches produits, posez-vous une question simple : que recherchent vraiment vos futurs clients ?

Une stratégie SEO e-commerce efficace ne repose pas sur des mots-clés génériques à fort volume, mais sur des expressions ciblées et alignées avec une intention d’achat. En bref, vous n’avez pas besoin d’attirer n’importe quel visiteur, vous avez besoin d’attirer le bon, au bon moment.

C’est pourquoi on parle souvent d’intention de recherche. Une requête comme “chaussures” est trop large et concurrentielle. En revanche, “acheter chaussures de randonnée imperméables femme taille 39” montre une intention claire, précise et potentiellement très rentable, même si le volume de recherche est plus faible. Mieux vaut donc capter 100 personnes réellement intéressées que 1 000 simples curieux.

Adoptez une approche stratégique

Il ne suffit pas d’utiliser les mots-clés qui vous semblent logiques. Vous devez aller chercher ceux que vos clients utilisent réellement. Pour cela, les suggestions de remplissage automatique de Google et Amazon sont très utiles pour définir vos mots-clés cibles. Tapez un mot-clé de départ dans le moteur de recherche et observez ce que Google complète automatiquement. Ce sont souvent des requêtes fréquentes, très révélatrices des besoins concrets des internautes. Si vous vendez des chaussures de sport, par exemple, essayez de taper « meilleure chaussure de sport » ou simplement « meilleure chaussure » dans Google pour voir quelles recherches suggérées apparaissent. Ainsi, vous pouvez intégrer ces mots-clés dans vos descriptions de produits et votre page de destination, afin que les robots d’exploration de Google (les robots qui parcourent les pages à la recherche de contenu pertinent) sachent que votre page offre un bon résultat pour ces termes.

Les recherches associées, la section "Autres questions posées" (People Also Ask), ou encore les champs de recherche des marketplaces (Amazon, Etsy) vous permettront de repérer des formulations intéressantes. C’est encore plus vrai si vous vendez des produits de niche.

Et n’oubliez pas que certaines recherches sont liées à des événements ou des saisons. Si vous commercialisez des produits cadeaux ou des objets déco, pensez aux temps forts comme Noël, la fête des Mères ou la rentrée. Il peut être judicieux d’anticiper vos optimisations SEO deux à trois mois avant ces pics d’intérêt. Utilisez Google Trends pour détecter les pics saisonniers.

Longue traîne = meilleures chances de conversion

Dans l’univers e-commerce, la longue traîne est votre alliée. Ce sont des expressions de trois mots ou plus, souvent très spécifiques, comme “meilleure lampe de chevet pour lecture” ou “aspirateur sans sac silencieux pour parquet”. Ces requêtes sont moins tapées, certes, mais elles expriment un besoin très clair et une intention d’achat beaucoup plus forte. Elles permettent de se positionner sur des requêtes moins concurrentielles, plus précises et avec plus de chance de convertir l’internaute en acheteur.

Et vos clients dans tout ça ?

Vos données internes sont une ressource souvent sous-exploitée. Les mots tapés dans le champ de recherche de votre site, les questions envoyées au service client, les expressions utilisées dans les avis produits ou sur les réseaux sociaux vous donnent des indices précieux sur le vocabulaire de vos clients. Ce langage réel peut vous aider à affiner vos fiches produits, à identifier de nouveaux mots-clés ou à mieux comprendre les freins à l’achat.

Enfin, si vous gérez un volume important de références, créez-vous un tableau de suivi des mots-clés par page ou par gamme de produits. Classez-les par type d’intention, volume de recherche, saisonnalité ou performance SEO réelle. Cela vous permettra de prioriser vos actions d’optimisation sans vous disperser.

2. Intégrez vos mots-clés de manière naturelle et stratégique

Une fois vos mots-clés bien choisis, encore faut-il savoir comment et où les utiliser correctement. Le SEO ne consiste plus à les insérer partout en espérant “forcer” l’algorithme. Cette époque est révolue. Google valorise aujourd’hui les contenus utiles, lisibles, cohérents et de qualité, qui répondent réellement aux intentions des utilisateurs. Les robots pénalisent ceux qui abusent des mots-clés ou n’apportent pas de valeur à l’utilisateur. L’objectif est simple : que vos pages soient comprises par les moteurs sans nuire à l’expérience utilisateur (UX). En d’autres termes, écrivez comme un être humain, et pas comme un ordinateur. Un texte lourd, artificiel ou répétitif nuit à votre image, à vos conversions… et à votre référencement. Ce que Google attend, ce sont des textes :

  • rédigés dans un langage naturel
  • structurés logiquement
  • riches sémantiquement

Il est donc préférable d’utiliser vos expressions principales une ou deux fois à des endroits clés, tout en les enrichissant de synonymes, de mots voisins et de formulations proches. Google est aujourd’hui capable de comprendre que “chaise de bureau ergonomique” et “fauteuil de bureau confortable” renvoient à une intention proche. En variant les termes, vous élargissez votre couverture sémantique… et améliorez la lisibilité.

Voici les endroits où vos mots-clés auront le plus d’impact SEO :

  • Le titre de la page (balise title) : c’est l’un des signaux les plus forts pour Google
  • L’en-tête principal (H1) : doit correspondre au sujet de la page
  • Les sous-titres (H2, H3) : utiles pour structurer votre contenu et insérer des mots-clés secondaires
  • Le corps du texte : vos mots-clés doivent apparaître naturellement dans les phrases
  • Les balises alt des images : pour décrire visuellement un produit (et optimiser Google Images)
  • L’URL de la page : courte, claire, avec le mot-clé si possible
  • La méta-description : non prise en compte pour le classement, mais influence le taux de clic

3. Optimisez en profondeur votre référencement on-page

Le SEO on-page, c’est tout ce que vous contrôlez directement sur votre site pour améliorer sa visibilité dans les moteurs de recherche. Ce levier est souvent sous-exploité dans l'e-commerce, où l’on se concentre (à tort) uniquement sur les fiches produits. Pourtant, une bonne optimisation on-page ne se résume pas à insérer des mots-clés : elle repose sur une structure claire, une navigation fluide, un contenu bien organisé, et une logique de site pensée pour le crawl autant que pour l’humain.

Si Google ne peut pas explorer et comprendre vos pages correctement, il ne pourra tout simplement pas les positionner.

Soignez donc la structure de votre site

Un site e-commerce bien structuré permet aux moteurs de recherche de comprendre vos pages et leur hiérarchie, et aux visiteurs de trouver rapidement ce qu’ils cherchent.

  • Organisez vos produits en grandes catégories, puis sous-catégories si besoin (ex : “Mobilier > Chaises > Chaises de bureau”)
  • Limitez la profondeur de navigation : idéalement, 3 clics maximum depuis la page d’accueil pour accéder à un produit
  • Créez une page catégorie par besoin utilisateur : ne regroupez pas tout sous une seule page “produits” ou “boutique”

Pensez au maillage interne

Les liens internes permettent à Google d’explorer votre site, mais ils orientent aussi vos visiteurs vers des pages clés. C’est une technique simple, mais puissante, qui consiste à relier une page de votre site Web à une autre. Exemples de maillage :

  • Relier une fiche produit à une autre (ex : “Vous aimerez aussi…”)
  • Lier les pages produits à un guide d’achat ou un article de blog complémentaire
  • Proposer des liens vers vos pages catégorie depuis vos contenus éditoriaux

Utilisez des ancres descriptives (ex : “voir nos tapis en laine”) plutôt que des liens vagues comme “cliquez ici”.

Cependant, n’abusez pas de cette technique, car elle pourrait vous pénaliser de la même manière que la surcharge de mots-clés. Un trop grand nombre de liens internes peut affaiblir la qualité de votre site. Ne les utilisez donc que lorsqu’ils sont justifiés. Comme il vous est possible de créer votre propre texte d’ancrage pour les liens internes, il est recommandé de faire en sorte que chaque lien soit unique. La duplication du texte d’ancrage pourrait faire croire aux robots d’exploration Google que votre page n’est pas légitime.

Gérez les contenus dupliqués

Le contenu dupliqué est un vrai problème en e-commerce, notamment lorsque :

  • un même produit apparaît dans plusieurs catégories,
  • les filtres ou tris génèrent des dizaines d’URLs avec des contenus très proches,
  • vous utilisez les descriptions des fournisseurs (vu sur de nombreux sites concurrents).

Pour limiter les effets négatifs :

  • Utilisez les balises canonical pour indiquer la version principale d’une page
  • Créez des descriptions produits uniques (on y revient dans un prochain conseil)
  • Surveillez les URLs indexées dans Google Search Console pour détecter les doublons inutiles

Mettez en place une structure claire et lisible

Les robots de Google lisent votre page comme un lecteur rapide. Aidez-les à comprendre la hiérarchie de votre contenu :

  • Utilisez une balise H1 unique par page
  • Ajoutez des sous-titres H2/H3 pour structurer les sections
  • Pensez aux listes à puces, paragraphes courts, intertitres clairs pour améliorer la lisibilité

Gérez les contenus dupliqués

Le contenu dupliqué est un vrai problème en e-commerce, notamment lorsque :

  • un même produit apparaît dans plusieurs catégories,
  • les filtres ou tris génèrent des dizaines d’URLs avec des contenus très proches,
  • vous utilisez les descriptions des fournisseurs (vu sur de nombreux sites concurrents).

Pour limiter les effets négatifs :

  • Utilisez les balises canonical pour indiquer la version principale d’une page
  • Créez des descriptions produits uniques (on y revient dans un prochain conseil)
  • Surveillez les URLs indexées dans Google Search Console pour détecter les doublons inutiles

Mettez en place une structure claire et lisible

Les robots de Google lisent votre page comme un lecteur rapide. Aidez-les à comprendre la hiérarchie de votre contenu :

  • Utilisez une balise H1 unique par page
  • Ajoutez des sous-titres H2/H3 pour structurer les sections
  • Pensez aux listes à puces, paragraphes courts, intertitres clairs pour améliorer la lisibilité

4. Offrez une expérience mobile irréprochable

Aujourd’hui, plus de la moitié du trafic e-commerce provient du mobile. Et ce n’est pas une simple tendance : Google a officialisé l’indexation mobile-first, ce qui signifie qu’il utilise la version mobile de votre site comme référence principale pour classer vos pages dans les résultats de recherche.

Autrement dit, si votre boutique en ligne est difficile à utiliser sur un smartphone, c’est non seulement frustrant pour vos visiteurs, mais c’est aussi pénalisant pour votre SEO. L’expérience mobile est donc un critère de performance à part entière, au même titre que la qualité de vos contenus ou la vitesse de chargement.

Avoir un site responsive, c’est le minimum. Mais cela ne garantit pas une bonne expérience utilisateur. Un site peut techniquement s’adapter à l’écran… tout en étant illisible, lent ou mal organisé sur mobile.

Voici quelques signaux d’alerte à surveiller :

  • Menus ou boutons trop petits, difficiles à cliquer
  • Images trop larges ou mal redimensionnées
  • Pop-ups impossibles à fermer ou qui bloquent la navigation
  • Temps de chargement trop long sur réseau 4G
  • Fiches produits encombrées, peu lisibles ou sans call-to-action (CTA) clair

Ne partez pas du principe que tout fonctionne : testez votre site sur différents appareils et tailles d’écran. Il existe aussi des outils conçus pour vous aider à analyser vos performances mobiles, comme Google Search Console, qui vous signale les erreurs d’ergonomie mobile page par page, ou PageSpeed Insights, pour mesurer la vitesse sur mobile.

Si vous vendez à l’international, testez aussi la performance de votre site dans différents pays : les connexions sont parfois plus lentes, ce qui peut impacter fortement la navigation mobile.

Un bon SEO mobile, ce n’est pas juste une question technique. C’est aussi une question de confort de navigation et de fluidité du parcours utilisateur. Pensez à :

  • Mettre en avant les catégories ou produits phares dès la page d’accueil mobile
  • Réduire le nombre d’étapes pour accéder à une fiche produit ou valider un panier
  • Faciliter l’ajout au panier avec un bouton visible, de taille suffisante
  • Rendre la lecture agréable avec des blocs bien espacés, du texte lisible et un affichage clair des prix, des tailles, des options…

5. Accélérez la vitesse de chargement de votre site

En e-commerce, chaque seconde compte. Une page qui met plus de 3 secondes à se charger risque de faire fuir l’utilisateur, et plus elle tarde, plus la probabilité qu’il quitte sans acheter augmente.

Côté SEO, c’est tout aussi critique : la vitesse de chargement est un facteur de classement officiel pour Google, et elle est au cœur des Core Web Vitals, ces indicateurs clés qui évaluent la qualité de l’expérience utilisateur.

En clair, un site lent est pénalisant pour vos visiteurs et pour vos positions dans les résultats de recherche.

Un site rapide :

  • améliore le taux de rétention (les visiteurs restent plus longtemps),
  • réduit le taux de rebond (ils quittent moins vite une page qui se charge vite),
  • augmente les taux de conversion (surtout sur mobile),
  • et envoie des signaux positifs à Google (meilleure exploration, meilleure indexation, meilleur classement).

Et à l’inverse, une lenteur de quelques secondes peut avoir un effet boule de neige : abandon de panier, mauvaise note UX, moins de pages vues… et donc moins de ventes.

Que peut-on optimiser concrètement ?

  • Les images : ce sont souvent les fichiers les plus lourds. Il faut les compresser sans perdre en qualité, et privilégier les formats modernes comme WebP.
  • Le code du site : fichiers CSS ou JavaScript mal optimisés, appels inutiles, animations superflues… tout cela ralentit la page.
  • Le serveur : optez pour un hébergement rapide, avec un CDN si vous vendez à l’international.
  • La mise en cache : elle permet d’accélérer l’affichage des pages pour les visiteurs récurrents.
  • Le chargement différé (lazy loading) : utile pour charger les images ou contenus au fur et à mesure, sans alourdir le haut de la page.

6. Rédigez des fiches produits uniques, utiles et orientées client

Dans un site e-commerce, chaque produit est une porte d’entrée potentielle depuis Google. Et cette porte, c’est bien souvent la fiche produit. C’est là que se joue l’essentiel : le référencement, la réassurance, la mise en valeur du produit et, au final, la décision d’achat.

Trop de boutiques en ligne copient les descriptifs fournis par les fabricants ou utilisent des textes trop courts, impersonnels, voire identiques d’un produit à l’autre. Résultat : contenu dupliqué, manque d’originalité, faible visibilité SEO et taux de conversion en berne.

La solution ? Travailler vos descriptions produits comme de vrais contenus à forte valeur.

Une fiche produit bien écrite répond à deux objectifs :

  1. Elle aide l’acheteur à se projeter et à faire un choix.
  2. Elle permet aux moteurs de recherche de comprendre précisément de quoi il s’agit.

Une simple liste de caractéristiques ne suffit pas. Il faut mettre en récit le produit, répondre aux objections courantes, mettre en avant les bénéfices concrets, et utiliser un vocabulaire que votre client comprend (et recherche).

Prenons un exemple : Plutôt que de dire “chaise en polypropylène avec pieds en bois et visserie incluse”, dites plutôt :

“Une chaise légère et robuste, parfaite pour une salle à manger moderne. Facile à monter et résistante au quotidien, elle allie confort et design nordique.”

Comment rédiger des fiches produits performantes ?

  • Évitez le copier-coller des fournisseurs : votre fiche doit être unique, même si vous vendez un produit distribué ailleurs.
  • Parlez usages, bénéfices, contexte : pour qui est ce produit ? Dans quel environnement s’intègre-t-il ? Quel problème résout-il ?
  • Structurez votre texte avec des titres, des paragraphes aérés, des listes courtes si nécessaire
  • Intégrez vos mots-clés de façon naturelle : dans le titre, les sous-titres, la description longue, les balises alt des images…
  • Ajoutez des éléments de réassurance : délais de livraison, garanties, conseils d’entretien, origine du produit…

En plus du texte visible, une fiche produit bien optimisée intègre des données structurées (Schema.org) pour permettre à Google d’afficher :

  • le prix
  • la disponibilité
  • les avis clients
  • les variations du produit

Cela augmente vos chances d’apparaître sous forme de résultat enrichi (rich snippet), beaucoup plus visible et engageant dans les SERPs.

7. Optimisez vos images pour le SEO (et pour vos visiteurs)

L’image est bien plus qu’un visuel sur votre site : c’est un élément clé de la décision d’achat. Vos clients ne peuvent pas toucher vos produits, alors ils doivent pouvoir les voir clairement, sous tous les angles, et dans un contexte qui les rassure.

Mais les images ne servent pas uniquement à séduire les visiteurs. Elles jouent aussi un rôle dans votre référencement naturel, à condition d’être bien optimisées.

Google ne “voit” pas les images. Il la lit avec son nom de fichier, sa balise alt, sa légende s’il y en a une, et le contexte textuel dans lequel elle s’insère.

En optimisant ces éléments, vous permettez :

  • une meilleure indexation de vos produits (même via Google Images),
  • un référencement plus riche (notamment pour les recherches visuelles),
  • une meilleure accessibilité pour les utilisateurs malvoyants ou utilisant des lecteurs d’écran.

Comment optimiser vos images en SEO ?

  • Nom de fichier clair et descriptif
    • oui : chaise-rotin-naturel.jpg
    • non : IMG_1347_final_v3_12.jpg
  • Texte alternatif (balise alt)
    • Décrivez ce que montre l’image, de façon concise et compréhensible.
    • Intégrez un mot-clé s’il est pertinent, mais jamais de manière forcée.
    • Exemple : “chaise en rotin naturel avec coussin blanc sur fond neutre”
  • Poids de l’image réduit au maximum sans perte de qualité
    • Utilisez des outils de compression (TinyPNG, Squoosh, ImageOptim…)
    • Convertissez vos images en format WebP, plus léger que JPG ou PNG
  • Dimensions adaptées à l’usage
    • Pas besoin d’afficher une image 3000px quand un visuel de 800px suffit
    • Adaptez les tailles aux différents appareils pour améliorer la vitesse mobile
  • Chargement différé (lazy loading) : ne chargez les images qu’au moment où elles s’affichent à l’écran : cela allège la page dès l’arrivée

8. Créez des URLs courtes, lisibles et efficaces

On l’oublie parfois, mais une URL bien construite est un véritable atout SEO. Elle joue un rôle dans le référencement, dans la clarté de votre site, dans l’expérience utilisateur… et même dans la confiance que peut ressentir un internaute avant de cliquer.

Une URL n’a pas besoin d’être “belle” : elle doit être utile, compréhensible et cohérente. C’est un repère pour Google autant que pour vos visiteurs.

Une bonne URL permet à Google :

  • de mieux comprendre le contenu d’une page,
  • de l’intégrer logiquement dans l’arborescence du site,
  • de faciliter le crawl et l’indexation, surtout sur les gros sites e-commerce.

Côté utilisateur, elle rassure et donne une idée claire de ce qu’il va trouver en cliquant. À l’inverse, une URL longue, remplie de chiffres, de paramètres ou de termes techniques, paraît confuse et peu fiable.

Comment créer des URLs SEO-friendly sur votre site e-commerce ?

  • Soyez concis : limitez-vous aux mots essentiels, sans termes superflus.
  • Intégrez un mot-clé pertinent, mais sans surcharger : cela aide à renforcer le thème de la page.
  • Évitez les paramètres dynamiques dans les URLs indexables (ex : ?ref=abc12&color=blue).
  • Remplacez les espaces par des tirets (et non des underscores).
  • Utilisez des minuscules uniquement, pour éviter les doublons d’URL.
  • Respectez l’arborescence du site : les URLs doivent refléter la structure réelle de navigation (catégorie > sous-catégorie > produit).

Pensez aussi à la pérennité de vos URLs. Si vous changez régulièrement leur structure, vous devrez rediriger les anciennes, ce qui peut nuire au référencement. Il vaut mieux les construire intelligemment dès le départ.

La vitesse de chargement des pages est un facteur de classement direct. La vitesse de chargement des pages réduit le taux de rebond et augmente le nombre de pages consultées sur votre site Web. Cela peut également améliorer votre taux de conversion, car les visiteurs ne devront pas attendre longtemps que la page se charge. Pour optimiser le délai de chargement de votre site Web, vous pouvez notamment compresser les images, mettre votre site Web en cache et optimiser le code de votre site Web afin de réduire le volume de codage nécessaire à son fonctionnement.

SEO e-commerce : erreurs fréquentes à éviter

Le SEO d’un site e-commerce peut rapidement devenir complexe à mesure que le catalogue s’étoffe, que l’architecture s’enrichit ou que les besoins techniques évoluent. Certaines erreurs sont invisibles au premier coup d’œil, mais ont un impact direct sur votre trafic organique, votre taux de conversion et votre visibilité globale. Voici les pièges les plus courants à éviter et les solutions pour les contourner efficacement.

Ignorer l’intention de recherche utilisateur

Optimiser une page produit uniquement autour d’un mot-clé générique peut sembler suffisant. En réalité, les moteurs de recherche tiennent de plus en plus compte de l’intention de recherche qui se cache derrière la requête. L’utilisateur cherche-t-il à acheter ? À se renseigner ? À comparer ? Une fiche produit n’aura pas le même rôle qu’un guide d’achat ou qu’un comparatif. Il faut donc éviter de se positionner sur des requêtes informationnelles avec des pages transactionnelles ou l’inverse.

Conséquences :

  • Mauvais positionnement de vos pages sur des requêtes mal alignées
  • Taux de rebond élevé, car la page ne répond pas au besoin réel
  • Perte de visibilité sur des requêtes plus spécifiques ou plus proches de la conversion

Bons réflexes : Mappez les intentions (informationnelle, navigationnelle, transactionnelle) en fonction des mots-clés et adaptez le type de page :

  • Articles de blog pour les requêtes informationnelles
  • Pages catégories ou comparateurs pour les recherches commerciales
  • Fiches produits pour les intentions d’achat direct

Indexer trop de pages inutiles ou pauvres (à faible valeur SEO)

Les sites e-commerce génèrent souvent des milliers de pages via les filtres, les déclinaisons produits, les tris par prix, couleur ou popularité. Si toutes ces pages sont indexées, Google peut rapidement saturer son budget de crawl, sans prioriser les pages stratégiques.

Conséquences :

  • Dilution de l’autorité entre des centaines de pages similaires
  • Mauvaise indexation des pages importantes
  • Risque de cannibalisation ou de contenu dupliqué

Bons réflexes :

  • Bloquer les paramètres d’URL inutiles avec le fichier robots.txt
  • Utiliser des balises noindex sur les filtres non pertinents
  • Appliquer des balises rel=canonical pour indiquer la version à indexer
  • Suivre les pages indexées via Google Search Console et affiner votre stratégie

Supprimer ou modifier des pages sans redirection 301

Dans le cadre d’une refonte, d’un changement de structure ou simplement à l’occasion de l’arrêt d’un produit, il arrive souvent que des URLs soient supprimées sans précaution. Résultat : les internautes et les robots tombent sur une erreur 404.

Conséquences :

  • Perte de positionnement et d’autorité des pages supprimées
  • Mauvaise expérience utilisateur
  • Chute de trafic sans alerte visible si non surveillée

Bons réflexes :

  • Toujours mettre en place une redirection 301 des anciennes pages vers les nouvelles, ou vers une page équivalente (catégorie parente, fiche produit similaire, etc.)
  • Maintenir une page produit inactive avec une mention claire (“produit non disponible”) plutôt que de la supprimer brutalement
  • Utiliser la Google Search Console pour identifier les pages qui reçoivent encore du trafic ou des backlinks avant toute suppression

Négliger les pages sans produits ou en rupture de stock

Lorsqu’un produit est temporairement indisponible, beaucoup de sites choisissent soit de retirer la page, soit d’en masquer le contenu. Cela nuit à la continuité du SEO, mais aussi à l’expérience utilisateur. Une page vide ou avec un simple message “produit indisponible” est une occasion manquée de rassurer, de retenir l’utilisateur ou de l’orienter vers une alternative.

Conséquences :

  • Perte de positionnement si la page est supprimée
  • Frustration pour les utilisateurs qui n’ont pas d’alternative ni d’informations
  • Difficulté à reclasser la page si le produit revient en stock

Bons réflexes :

  • Garder la page en ligne et indiquer clairement que le produit est en rupture
  • Proposer des produits alternatifs ou un formulaire de notification de réassort
  • Conserver le texte descriptif pour préserver la valeur SEO de la page
  • Si un produit est arrêté définitivement, envisager une redirection vers une page pertinente (produit équivalent, catégorie…)

Avoir un site e-commerce sans logique éditoriale

Le SEO e-commerce ne se limite pas aux pages produits. Un site e-commerce peut (et devrait) faire bien plus que vendre : il peut informer, inspirer, accompagner l’utilisateur dans son parcours d’achat. Ne pas intégrer de contenus éditoriaux (articles, guides, comparatifs, vidéos, FAQ) revient à se priver de nombreuses opportunités de visibilité et de positionnement sur des requêtes à forte intention.

Conséquences :

  • Manque de positionnement sur des requêtes informationnelles ou longues traînes
  • Faible réassurance de l’utilisateur
  • Moins de backlinks naturels (les fiches produits sont rarement partagées ou citées)

Bons réflexes :

  • Créer des contenus de blog liés à vos produits ou catégories (ex : "Comment bien choisir sa paire de baskets running ?")
  • Ajouter des éléments éditoriaux sur vos pages catégorie : guides d’achat, descriptifs détaillés, conseils d’usage
  • Intégrer une FAQ structurée (et balisée) pour répondre aux questions fréquentes des utilisateurs

Se focaliser uniquement sur les mots-clés “produits” au détriment des requêtes longue traîne

Chercher à se positionner uniquement sur des termes très concurrentiels comme “chaussures de course”, “meuble pas cher”, “chaussures homme” peut vite s’avérer inefficace. La longue traîne (ex. : “chaussures de course pour pieds plats été”) offre souvent plus de volume cumulé… et un trafic plus qualifié.

Conséquences :

  • Difficulté à se positionner face aux gros acteurs du marché
  • Taux de conversion faible en cas de trafic peu qualifié
  • Sous-exploitation du potentiel de trafic “longue traîne”

Bons réflexes :

  • Utiliser des outils comme Google Keyword Planner, Answer the Public ou Semrush pour identifier des requêtes spécifiques liées à votre catalogue
  • Optimiser chaque fiche produit sur des expressions ciblées (ex : “fauteuil en velours bleu compact”)
  • Diversifier les expressions dans vos titres, descriptions et contenus de blog

Lancer (ou faire évoluer) son site sans stratégie SEO continue

Le SEO n’est pas un projet ponctuel, c’est un travail continu. Trop d’e-commerçants mettent en place des optimisations au lancement du site… puis ne les mettent jamais à jour. Sans suivi, impossible d’identifier ce qui fonctionne… ou non.

Conséquences :

  • Obsolescence rapide des contenus
  • Opportunités de positionnement manquées
  • Problèmes techniques ou d’indexation qui s’accumulent sans être corrigés

Bons réflexes :

  • Suivre ses performances via Google Search Console, Analytics ou des outils comme Ahrefs / Semrush
  • Effectuer des audits SEO réguliers (1 à 2 fois par an minimum)
  • Mettre à jour les contenus existants (produits, catégories, blog) selon les saisons, les tendances ou les évolutions de l’offre
  • Surveiller l’évolution des requêtes cibles et adapter vos pages en conséquence

Oublier la dimension saisonnière du SEO e-commerce

Noël, soldes, rentrée, fêtes des mères… le SEO e-commerce est rythmé par des temps forts commerciaux. Ne pas anticiper ces pics de recherche, c’est rater des pics de trafic précieux.

Conséquences :

  • Arriver trop tard dans les résultats lorsque la demande explose
  • Ne pas capitaliser sur les recherches récurrentes chaque année
  • Forte dépendance à la publicité pour compenser

Bons réflexes :

  • Planifier en amont vos optimisations saisonnières (idéalement 2 à 3 mois à l’avance)
  • Mettre en ligne des pages spécifiques réutilisables d’année en année (ex : “Cadeaux de Noël”, “Idées déco pour l’été”)
  • Adapter les contenus et les fiches produits aux besoins du moment

Checklist des erreurs à éviter absolument en SEO e-commerce

ErreurPourquoi c’est problématique ?Solution
Ignorer l’intention de rechercheMauvais ciblage des contenus, perte de positionnementAligner chaque type de page (produit, catégorie, article) avec l’intention utilisateur
Laisser Google indexer des pages sans valeurDilution du budget de crawl, contenu dupliquéBloquer les filtres, gérer les canonical, prioriser l’indexation
Supprimer des pages sans redirectionPerte de trafic, erreurs 404, backlinks perdusMettre en place des redirections 301 vers les pages pertinentes
Retirer les produits en rupture sans alternativeMauvaise expérience utilisateur, perte de SEOConserver la page, proposer des produits similaires ou un formulaire d’alerte
Négliger les contenus éditoriauxManque de visibilité sur la longue traîneIntégrer blog, guides d’achat, FAQ, comparatifs
Se concentrer uniquement sur les gros mots-clésConcurrence élevée, faible conversionTravailler des expressions ciblées et longues traînes
Ne pas suivre les performances SEODifficulté à identifier les problèmes et opportunitésMettre en place un suivi régulier avec Google Search Console, Google Analytics, crawl…
Oublier la saisonnalité du SEOPerte de trafic sur les pics annuelsPlanifier les contenus et optimisations plusieurs mois à l’avance

FAQ – Référencement e-commerce : les questions fréquentes

Quelle est la différence entre SEO on-page et off-page en e-commerce ?

Le SEO on-page regroupe tout ce que vous optimisez sur votre site : structure, balises, contenus, fiches produits, vitesse de chargement, maillage interne… Le SEO off-page, lui, concerne les signaux extérieurs qui renforcent votre autorité : notamment les backlinks (liens entrants), les mentions de votre marque, les avis clients ou encore l’activité sur les réseaux sociaux.

Les deux sont complémentaires. Le SEO on-page pose les bases ; le off-page donne du poids à vos pages dans l’algorithme de Google.

Combien de temps faut-il pour voir les effets du SEO sur un site e-commerce ?

Le SEO est une stratégie de moyen/long terme. En général, il faut compter 3 à 6 mois pour observer des premiers résultats significatifs, surtout sur des requêtes concurrentielles.

Cela dépend de nombreux facteurs : niveau d’optimisation initial, concurrence, fréquence de publication, qualité du contenu, structure technique, etc.

Bonne nouvelle : les résultats sont souvent durables, à condition d’entretenir votre site régulièrement.

Dois-je optimiser toutes mes fiches produits pour le SEO ?

Oui, mais de façon stratégique. Si vous avez un très grand catalogue, commencez par :

  • vos produits les plus recherchés ou les plus vendus,
  • ceux qui sont saisonnaux ou très concurrentiels,
  • et les pages catégories, qui sont souvent négligées, mais très puissantes en SEO.

Chaque fiche doit contenir un contenu unique, informatif et bien structuré, intégrant les bons mots-clés et répondant aux besoins des clients.

Comment éviter le contenu dupliqué sur un site e-commerce ?

  • Rédigez vos propres descriptions produits (ne copiez pas celles du fournisseur),
  • Ajoutez du contenu spécifique sur les pages catégories,
  • Utilisez les balises canonicals pour indiquer la version principale d’une page,
  • Gérez vos filtres (couleur, taille, etc.) pour ne pas créer trop de variantes indexées.

Le SEO local est-il utile pour un site e-commerce ?

Oui, le SEO local est utile pour votre site e-commerce, si vous avez aussi une boutique physique, un point de retrait ou un service localisé. Dans ce cas :

  • Créez une fiche Google Business Profile complète et à jour,
  • Intégrez des informations locales (adresse, horaires, téléphone) sur votre site,
  • Travaillez vos pages avec des mots-clés localisés (“livraison fleurs Paris”, “magasin déco Lyon”).

Cela permet d’apparaître dans les résultats locaux de Google, y compris dans les cartes et suggestions géolocalisées.

Quels outils utiliser pour améliorer son SEO e-commerce ?

Optimisez le trafic e-commerce

Améliorer le référencement de votre boutique en ligne, c’est avant tout miser sur une stratégie solide et cohérente, qui combine des mots-clés bien choisis, une structure claire et une expérience utilisateur soignée. En appliquant les bonnes pratiques du SEO e-commerce — depuis les fiches produits jusqu’à la vitesse de chargement, en passant par les images et les URL — vous mettez toutes les chances de votre côté pour attirer un trafic qualifié et convertir davantage de visiteurs en clients.

Et pour gagner du temps dans la mise en œuvre, Mailchimp vous accompagne. Grâce à son créateur de site Web intégré, vous pouvez :

  • concevoir des pages performantes et responsives,
  • intégrer vos mots-clés de manière stratégique,
  • générer des titres, descriptions et URLs optimisés pour les moteurs de recherche.
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